Lexique
Unité constitutive des protéines. Il existe 20 acides aminés communs : alanine, arginine, asparagine, aspartate, cystéine, glutamine, glycine, histidine, isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, proline, glutamate, sérine, thréonine, tryptophane, tyrosine, valine.
Issu essentiellement de l’huile de colza ; utilisé dans des applications industrielles (bioproduits).
Les acides gras sont les composants majoritaires des lipides dont découlent la plupart de leurs propriétés nutritionnelles et métaboliques.
Issu des huiles de palmiste et de coprah ; acides gras à chaîne longue de 18 atomes de carbone plus ou moins saturée.
Acide gras polyinsaturé omega 6 à 18 atomes de carbone. Abondant dans les huiles de tournesol et de soja.
Principal constituant de l’huile de lin (65 %). C’est un acide gras à chaîne longue en C18:3 pour indiquer qu’il a 18 carbones et trois liaisons éthyléniques situées sur les carbones.
Abondant dans les huiles de colza (60 %), de tournesol oléique (80 %), de palme (40 %) et dans le suif.
Acid detergent fiber (ligno-cellulose).
Protéine dont la fonction est de déstabiliser l’actine sous forme filamentaire.
Macromolécule constituée de deux chaînes enroulées en double hélice. Ces deux brins sont assemblés à partir de nucléotides. Chaque nucléotide comprend un sucre, le désoxyribose, un phosphate et une des quatre bases azotées (adénine, guanine, cytosine, thymine). L’ADN est le support de l’information génétique des organismes vivants.
Enzyme qui polymérise les nucléotides. Les désoxyribonucléotides sont utilisés dans la synthèse de l’ADN. Les ARN polymérases.
Polymorphisme de longueur des fragments d’amplification : technique basée sur la mise en évidence conjointe de polymorphisme de site de restriction et de polymorphisme d’hybridation d’une amorce de séquence arbitraire.
Ils multiplient les semences d’une variété dans leurs parcelles à partir des semences mères, pour les besoins de l’ensemble des utilisateurs (agriculteurs, maraîchers, jardiniers …).
Genre de bactéries qui parasitent les plantes par transfert d’une partie de leur plasmide, appelé ADN-T, dans le génome de la plante infectée. Deux espèces, rhizogenes et tumefaciens, sont utilisées pour introduire des gènes chez les végétaux par l’intermédiaire de leurs plasmides (Ti ou Ri) utilisés comme vecteurs d’ADN.
L’agroécologie est un système d’agriculture qui vise à concilier la performance économique et la performance environnementale des exploitations agricoles. Il s’agit de repenser les systèmes de productions actuels et les pratiques agricoles pour produire autrement.
Procédé permettant la pénétration d’agrobactéries, porteuses d’un transgène sur leur plasmide Ti, dans les tissus d’une plante, de telle sorte que les cellules de cette dernière expriment ce transgène.
Cette méthode est nommée ainsi car elle implique l’utilisation du vecteur biologique Agrobacterium tumefaciens (agro-) introduit de manière mécanique dans une plante hôte (-infiltration).
Association pour le développement international agronomique et industriel des protéagineux et des oléagineux.
Le terme allélopathie qualifie un organisme qui inhibe la croissance d’autres organismes en secrétant des substances toxiques ou anti-germinative.
Système de reproduction par fécondation croisée. Le pollen fécondant provient d’une autre fleur que celle de l’ovule. L’allogamie demande en fait deux conditions : Un mécanisme biologique empêchant ou limitant les possibilités d’autofécondation et un dispositif de transport du pollen d’une fleur à une autre.
Se dit d’une variété qui monte à épis l’année du semis, les variétés non alternatives montent à épis l’année suivant le semis.
Association nationale des agriculteurs-multiplicateurs de semences oléagineuses. L’Anamso est chargée de défendre les intérêts des agriculteurs multiplicateurs de semences oléagineuses et de développer des actions techniques permettant d’améliorer la compétitivité de la filière semences.
Reproduction sexuée d’une plante assurée par le vent (vecteur pollinisateur).
Se dit d’une plante dont le cycle de végétation s’effectue sur une année. Exemples : mais, blé, pois….
Polymère linéaire dont la sous-unité de base, un ribonucléotide, contient le sucre ribose.
ARN synthétisé par transcription de l’ADN et codant pour une protéine, car il sert de matrice à la traduction. L’agencement des quatre bases (A,U,G,C) en codons (triplets de bases) détermine la séquence en acides aminés de la protéine, selon le code génétique.
Association de semences certifiées d’une variété d’un hybride mâle-stérile et de semences certifiées d’une ou de plusieurs variétés pollinisatrices dans des proportions définies par l’obtenteur.
L’association des composants est obligatoirement réalisée mécaniquement en usine. Les semences du composant hybride et des pollinisateurs doivent être identifiés avec des produits de couleurs différentes.
L’association variétale est soit enregistrée en France ou dans un autre pays de l’Union européenne, soit notifiée au SOC, l’ensemble des composants devant figurer sur le catalogue national ou communautaire.
Il existe trois types d’association variétales : CHL (Composites hybrides-lignées) et CHH (Composites hybrides-hybrides). A la différence des CHL, les plantes fertiles des CHH sont des hybrides.
Système de reproduction d’un individu par lui-même. L’autogamie est assurée par la structure de la fleur qui facilite l’autofécondation et empêche l’hybridation.
L’autotrophie est la capacité à produire de la matière organique à partir de matière minérale et d’énergie. La photosynthèse des végétaux est un exemple d’autotrophie : transformation du CO2 en sucre grâce à l’énergie lumineuse.
A la différence des virus, les bactéries sont des organismes unicellulaires, capables de se reproduire de façon autonome. Elles sont 10 fois plus grandes que les virus, et la plupart ne présentent aucun danger pour l’homme.
Constituant d’un acide nucléique. Les quatre bases de l’ADN sont l’adénine (A), la guanine (G), la cytosine (C) et la thymine (T). Chez l’ARN, l’uracile (U) remplace la thymine.
Le mot biodiversité est directement traduit de l’anglais biodiversity, contraction de biological diversity (bios, en grec, signifie la vie). S’il est devenu très courant, ce terme est en fait assez récent : il a intégré les dictionnaires français dans les années 1990.
Technique utilisée dans la production d’organismes transgéniques consistant à introduire de l’ADN directement dans le noyau des cellules végétales par projection de microbilles métalliques porteuses de cet ADN. Cette technique est employée pour le maïs, le blé, le riz, le coton, le soja, etc.
Branche interdisciplinaire de la biologie moléculaire qui recourt à la physique, à l’informatique et à la chimie pour inventer des génomes, obtenir des réactions enzymatiques nouvelles, et créer des cellules capables d’activités métaboliques et fonctionnelles inédites.
Ensemble des méthodes et techniques qui utilisent des organismes vivants ou leurs composants pour fabriquer ou modifier des produits, pour améliorer des végétaux ou des animaux, ou pour développer des micro-organismes destinés à des applications spécifiques.
Il s’ajoute au brassage des chromosomes. En effet, lors de la première division de la méiose, les chromosomes se trouvent appariés et des échanges de segments de chromatides peuvent se produire, ce sont les crossing over. On parle de recombinaison.
Le brevet est directement issu de la logique industrielle. Il n’est applicable aux variétés que dans de rares pays comme les USA. Les variétés brevetées ne peuvent être utilisées à des fins de sélection et sont interdites en tant que semences de ferme. Ce système, mal adapté au vivant, est une menace d’appropriation totale de certaines variétés.
Amas de cellules végétales indifférenciées et totipotentes obtenu par culture in vitro ou par réaction naturelle de la plante suite à une blessure ou à une infection.
Caractéristique physique déterminée par un ou plusieurs gènes. Des variations dans ces caractéristiques dépendent des allèles particuliers qu’un individu porte pour les locus déterminant le caractère et de leur interaction avec le milieu. L’objectif de l’amélioration variétale est de sélectionner des variétés présentant des caractères d’intérêt.
Représentation graphique du positionnement des gènes sur les chromosomes selon les distances génétiques déduites de leurs taux de recombinaison.
Analyse du génome consistant à baliser l’ensemble du génome par des marqueurs, ce qui facilite ensuite la localisation de gènes.
Effectif chromosomique d’une cellule ou d’une espèce. Les chromosomes y sont classés par paire, en fonction de leur taille et de la position de leur centromère.
Unité de distance génétique (cM). La distance entre deux locus est fonction du pourcentage de recombinaison entre ces deux locus.
C’est une garantie officielle de conformité de produit qui comprend trois aspects : une certification variétale, une certification technologique et, dans certains cas, une certification sanitaire.
Organite cellulaire des plantes vertes, de structure complexe, où se produit la photosynthèse. Ils sont présents dans les organes aériens de la plante, et sont eux aussi spécifiques du monde végétal. C’est le lieu où l’énergie lumineuse est transformée en énergie chimique, puis stockée dans des molécules organiques : les sucres.
Structure contenue au sein du noyau des cellules de tous les êtres vivants, observable au cours des divisions cellulaires et porteuse de l’information génétique. C’est un constituant cellulaire formé d’une molécule d’ADN enroulée et associée à des protéines appelées histones.
Chromosomes appartenant à la même paire, de même taille et portant les mêmes gènes, mais dont les allèles peuvent être différents.
Méthode de multiplication végétative aboutissant à la formation d’individus génétiquement identiques. Par extension, on parle de clonage de gènes pour désigner la technique d’isolement et d’amplification de fragments d’ADN dans un clone cellulaire.
Code de correspondance entre les acides nucléiques (ADN et ARN) et les protéines, qui fait correspondre un triplet (succession ordonnée de 3 bases) à un acide aminé. Ce code est presque universel, c’est-à-dire commun à tous les êtres vivants (à quelques exceptions près).
Séquence d’ADN destinée à être transférée dans une cellule, comprenant un gène d’intérêt, les séquences promotrices et régulatrices indispensables à son expression et à sa régulation dans la cellule receveuse et un gène marqueur.
Certificat d’Obtention Végétale. Conçu dès l’origine pour s’appliquer à une matière vivante, ce système offre plus de souplesse que celui du brevet et préserve le libre accès à la ressource génétique. Ce mode de protection spécifique des variétés apporte plus de sécurité juridique à l’obtenteur et facilite, en même temps, le libre accès à la diversité génétique.
Nucléase associée à de courtes répétitions palindromiques regroupées et régulièrement espacées (Clustered Regularly Interspaced Palindromic Repeats), ensemble impliqué dans la défense immunitaire de certaines bactéries vis-à-vis de phages.
Caractère sur lesquels portent la sélection, l’effet de la sélection pouvant être observé sur un autre caractère.
Comité Technique Permanent de la Sélection des plantes cultivées. Sous tutelle des Ministères de l’Agriculture et des Finances, il étudie et propose aux pouvoirs publics les orientations en matière de sélection et de production de semences. Il propose l’inscription des variétés au Catalogue Officiel et suit l’application des règlements techniques de la production, du contrôle et de la certification variétale et sanitaire des semences et plants.
Ce sont des techniques de régénération, dans un milieu aux conditions contrôlées, de plantes entières à partir de cellules ou de tissus végétaux.
individu hybride qui résulte de la fusion de deux protoplastes mais qui ne possède qu’un seul noyau appartenant à l’un ou l’autre…
Il est entouré d’une membrane de phospholipides appelée membrane plasmique. Dans le cytoplasme, plusieurs éléments sont présents : noyaux, chloroplastes, mitochondrie, réticulum endoplasmique.
Opération qui consiste à séparer les deux brins complémentaires d’ADN, par élévation de la température.
Dessèchement par évaporation de l’eau contenue dans le grain sous l’action de la chaleur.
Le services de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes s’assurent du bon état des semences dans les circuits de distribution.
Acide docosahexaénoïque (dérivé direct de l’acide alpha-linilénique, acide gras oméga 3 à longue chaîne).
Épreuves de Distinction, Homogénéité et Stabilité en vue de l’inscription sur les liste du Catalogue officiel des espèces et variétés.
Chez un hétérozygote, séparation des gènes allèles dans des produits de méiose distincts.
Exprimée en CentiMorgan (Cm), elle mesure le lien entre deux locus sur un chromosome. Une distance de un CentiMorgan correspond à une fréquence de recombinaison de un pour cent. C’est à dire qu’elle correspond à un segment de chromatide sur lequel la probabilité qu’un crossing-over s’effectue est de 1 %.
Adaptation des plantes aux besoins de l’homme, adaptation des plantes sauvages à la culture.
État physiologique présenté par certains organes végétaux et caractérisé par l’état en vie ralentie.
En analyse d’aliment, une énergie digestible apparente indique le rapport de l’énergie brute de la ration alimentaire consommée moins l’énergie brute.
Modification contrôlée et précise de la séquence d’un gène afin d’apporter un nouveau caractère recherché pour la plante. Elle utilise des molécules capables de reconnaître et de modifier une séquence donnée dans le génome d’une plante en modifiant une ou plusieurs lettres de son ADN (A, T, G, C).
Technique de séparation de molécules d’ADN selon leur taille, par application d’un champ électrique sur un gel.
Technique qui consiste à soumettre une cellule à un fort courant électrique pendant une courte durée entraînant la perméabilisation de sa membrane.
Embryon végétal qui nécessite encore sa plante mère ou un milieu de culture in vitro approprié pour parvenir à maturité.
Une énergie métabolisable se définie comme égale à l’énergie digestible moins l’énergie perdue par le corps au cours de l’élimination des déchets…
Méthode de conservation du fourrage par voie humide passant par la fermentation lactique anaérobie (sans O2) et consistant à placer le fourrage dans un silo ou à le mettre en tas et à le presser après l’avoir haché.
Reproduction sexuée d’une plante assurée par un insecte (vecteur pollinisateur)
Enzyme bactérienne reconnaissant une séquence d’ADN spécifique, le site de restriction, et coupant les deux brins de la molécule d’ADN au niveau de cette séquence.
Acide eicosapentaénoïque (dérivé direct de l’acide alpha-linolénique, acide gras oméga 3 à longue chaîne).
L’épiaison caractérise la phase du cycle biologique durant laquelle l’épi achève son extraction des dernières feuilles.
Qualifie des modifications transmissibles d’une génération à l’autre et réversibles de l’expression des gènes sans changement des séquences nucléotidiques. Ces modifications peuvent être sous l’influence de l’environnement (stress par exemple).
Groupe d’individus ayant des caractères morphologiques, physiologiques et chromosomiques semblables et qui peuvent se croiser entre eux.
Une espèce endémique est une espèce (animale ou végétale) présente naturellement sur un territoire donné, même si elle a été ensuite plantée ou déplacée dans le monde entier, où elle n’est pas considérée comme endémique.
Ensemble de plantes issues du semis des graines récoltées sur un épi ligne ; ensemble des lignées.
Food and Agriculture Organization. Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture. Créée en 1945, elle est spécialisée dans l’aide au développement et chargée d’améliorer le niveau de vie, l’état nutritionnel et la productivité agricole dans le monde.
Fédération Française des Coopératives Agricoles de Collecte d’Approvisionnement et de Transformation.
Action ayant pour but d’obtenir un matériel homozygote et stable, en général par autofécondations répétées à partir d’un matériel hétérozygote.
Unité d’information génétique occupant une position spécifique (locus) dans le chromosome. Un gène est un segment d’ADN qui comprend la séquence codant pour une protéine, et les séquences qui en permettent et régulent l’expression. Les gènes déterminent ou influent sur l’expression du phénotype de l’être vivant (formes, couleurs, aptitudes diverses…). L’ensemble des gènes constitue son génome, ou patrimoine génétique (en anglais germplasm), héréditaire.
Gène responsable d’un caractère jugé intéressant, que l’on va transférer dans un autre organisme.
Association de plusieurs transgènes apportant des caractères différents dans un même génome.
Gène qui confère à une cellule ou à un organisme une propriété simple permettant d’identifier et/ou de sélectionner les cellules ou organismes qui le portent.
Espace de temps correspondant à l’intervalle qui sépare chacun des degrés d’une filiation
Ensemble des concepts, méthodes et techniques permettant de modifier le patrimoine héréditaire d’une cellule par la modification de gènes, de leur transfert, et/ou de leur expression. Le génie génétique permet ainsi de modifier, supprimer ou introduire certains caractères dans le patrimoine génétique d’une cellule.
Ensemble des gènes, patrimoine héréditaire contenu dans chaque cellule de tout organisme vivant.
Ensemble des recherches ayant pour objectifs de comprendre la structure, la fonction et l’évolution des gènes en relation avec la biologie des plantes.
Discipline qui vise à déterminer le génotype d’un individu, c’est-à-dire l’ensemble de sa composition génétique.
Groupe d’étude et de contrôle des variétés et des semences. Il mène les études et les analyses nécessaires à l’homologation des variétés végétales nouvelles, à la délivrance de Certificats d’obtention végétale et à la certification des semences.
Les glucosinolates sont des composés organiques rassemblant autour d’un atome de carbone. Ils sont stockés dans toutes les parties de la plante et libérés lors d’une attaque de phytophages.
Processus d’obtention de plantes haploïdes, dont le stock chromosomique est ensuite doublé, à partir des cellules reproductrices appelées gamétophyte mâle ou femelle.
Se dit d’une cellule (d’un noyau ou d’un organisme) ayant un génome à l’état unique : chaque chromosome n’est alors présent qu’à un seul exemplaire.
Désigne le fait que le croisement de lignées ou de populations donne une descendance aux performances supérieures à celles des parents. Ces performances seront d’autant plus importantes que les parents (lignées, population) sont éloignés génétiquement.
Individu dont les cellules possèdent en double le gène d’un caractère donné. Cette propriété confère à l’individu qui la possède la capacité de transmettre à 100% de sa descendance le caractère. Une lignée fixée, ou lignée pure, est totalement homozygote. Elle transmet donc à 100% de sa descendance exactement le même patrimoine génétique.
Fécondation croisée de l’ovule d’une plante par du pollen d’une autre plante de la même espèce.
Appariement de chaînes d’acides nucléiques complémentaires simple brin (ADN et ARN).
Résultent de la fusion naturelle ou provoquée de protoplastes ou de cellules somatiques de deux parents génétiquement différents et pouvant appartenir à des espèces différentes.
Indice de Fréquence de Traitement. Il permet d’évaluer l’intensité des traitements phytosanitaires exercée sur une parcelle agricole. Il s’exprime en nombre de doses homologuées par hectare au cours d’une campagne culturale.
Indication d’origine protégée en Europe : produit présentant au moins une caractéristique attribuée à la zone géographique. Peut être transformé hors de la zone de production.
Il s’agit du rapport de la somme des surfaces des feuilles actives d’un peuplement végétal à la surface de terrain occupée par ce peuplement. (Il exprime le potentiel de fixation d’énergie par la plante.)
Organe spécialisé de la plante regroupant des fleurs. Groupe de fleurs: grappe, epi, ombelle, capitule, panicule..
Information héréditaire portée par les chromosomes d’un organisme. Chez les plantes cela comprend les chromosomes présents dans le noyau les plastes et les mitochondries.
Au 1er janvier 2020, l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et l’Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture (IRSTEA) ont fusionné pour devenir un institut de recherche unique : INRAE.
Grâce à la complémentarité des disciplines et des compétences à la fois technologiques et scientifiques présentes au sein des deux structures scientifiques, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement a pour objectif de devenir l’un des leaders mondiaux de la recherche pour répondre aux enjeux sociétaux.
L’introgression désigne l’introduction d’un caractère intéressant dans une variété élite. Une série de rétrocroisements permet d’obtenir des individus isogéniques ayant le même stock chromosomique à un ou quelques gènes près.
Institut des Corps Gras, spécialisé dans les huiles et matières grasses d’origines végétales et animales.
Ce dispositif est en vigueur depuis 1993. Il permet de cultiver les terres éligibles aux aides PAC dès lors que la valorisation économique du débouché non alimentaire dépasse celle des co-produits (tourteaux par exemple) destinés à l’alimentation.
Denrée alimentaire ou produit agricole présentant un niveau de qualité supérieur. Référence géographique non obligatoire.
Ensemble d’individus homozygotes identiques entre eux et reproduits identiques à eux-mêmes par autofécondation.
Lignée fertile chargée d’assurer la reproduction de la lignée mâle stérile correspondante.
Séquence d’ADN particulière utilisée en cartographie génétique pour baliser les chromosomes.
Etude des métabolites : sucres, acides aminés, acides gras… présents dans les cellules d’un individu.
Processus naturel biologique de dégradation de la matière organique en l’absence d’oxygène qui conduit à une production combinée de gaz convertible en énergie (biogaz).
Addition d’un groupement méthyle (CH3) à une molécule. La méthylation des cytosines d’une région de l’ADN inhibe l’expression des gènes qui s’y trouvent.
Courte séquence d’ADN des chromosomes formée de la répétition d’un motif lui-même constitué de une à quatre bases (mono, di, tri, et tétranucléotidiques) à différents locus. Les plus courants sont (A)n, (TC)n, (TAT)n et (GATA)n. Ces séquences répétées en tandem ou SSR (Simple Sequence Repeats) sont très abondantes et très polymorphes dans le génome.
Elle transforme l’énergie contenue dans les molécules organiques en énergie utilisable par la cellule pour toutes ses fonctions. Cette forme d’énergie, l’adénosine triphosphate (ATP), est universelle au sein des organismes vivants.
Étape de la division cellulaire chez les cellules non sexuelles des organismes eucaryotes (c’est-à-dire qui possèdent un noyau). Elle se déroule en plusieurs phases, commence après la duplication de l’ADN et se termine avec la séparation des deux cellules filles. C’est un mécanisme fondamental qui se produit pour la première fois dans les heures suivant la fécondation.
Se dit d’un animal domestique ayant une seule poche gastrique (porc, volaille), par opposition aux ruminants qui en ont quatre.
Matières protéiques végétales : les MPV sont des ingrédients riches en protéines, obtenus à partir du fractionnement des graines de protéagineux qui produit des farines à 50 % de protéines, des concentrés à 70 % de protéines et des isolés à 90 % de protéines.
Matières riches en protéines : toute matière première destinée à l’alimentation animale contenant au moins 15 % de protéines (et donc capable de compenser le déficit en protéines des céréales pour les animaux d’élevage).
Processus qui consiste à provoquer artificiellement des modifications de l’ADN par l’utilisation d’agents mutagènes : produits chimiques ou rayonnements ionisants.
Enzymes qui hydrolysent des fonctions phospho-diester entre deux nucléotides d’un brin d’acide nucléique (ARN ou ADN) et les sépare.
Constituant élémentaire de l’ADN et de l’ARN, composé d’un sucre (désoxyribose ou ribose), d’un phosphate et d’une base azotée. Il n’existe que quatre types de nucléotides qui se distinguent par la nature de leur base (adénine, thymine, guanine ou cytosine) pour l’ADN ; l’uracile remplace la thymine pour l’ARN.
Organisme dont le génome a été modifié par génie génétique.
Plante dont on peut extraire de l’huile à partir des graines. Le résidu après extraction, riche en protéine et en fibre, est le tourteau utilisé en alimentation animale. Les graines entières peuvent être également utilisées pour leur richesse en énergie. Au sens de la réglementation européenne, les oléagineux sont le colza, le tournesol, le soja et le lin oléagineux. Il existe de nombreux autres oléagineux à travers le monde tels que l’arachide, le coton, la moutarde.
Association des industries des semences de plantes oléagineuses. Créée en 2006, OLÉOSEM (anciennement AMSOL) regroupe les entreprises qui sélectionnent, produisent et/ou commercialisent des semences de plantes oléagineuses.
Organisation nationale interprofessionnelle des oléagineux. En 2015, l’ONIDOL a été fusionné avec la partie « interprofession » de l’UNIP pour former « Terres Univia »
Paroi rigide qui constitue une sorte de squelette externe de la cellule. Cette paroi est spécifique de la cellule végétale, elle la protège.
Association loi 1901 de collectivités locales et territoriales et d’entreprises qui se sont fédérées autour de l’utilisation et de la promotion pour leur flotte captive du biocarburant diester incorporé à 30 % dans le gazole.
Technique permettant l’amplification in vitro d’une séquence d’ADN donnée, par la répétition de cycles de réplication d’ADN. Chaque cycle est constitué de trois étapes, nécessitant chacune une température différente : dénaturation, hybridation avec les oligonucléotides de synthèse spécifiques de la séquence cible et qui servent d’amorce, élongation de la chaîne nucléotidique.
Les PDIE représentent l’ensemble des protéines digestibles dans l’intestin, d’origine ailmentaire ou microbienne, lorsque la ration est déficitaire en énergie.
Les PDIN représentent l’ensemble des protéines digestibles dans l’intestin, qu’elles soient d’origine alimentaire ou microbienne lorsque la ration est déficitaire en azote dégradable.
Ensemble des caractères observables chez un individu, résultant de l’interaction entre le génotype et l’environnement.
Succession de photopériodes (périodes de lumière et d’absence de lumière) rythmant l’activité photosynthétique des plantes.
Plante qui optimise la photosynthèse en conditions de forte luminosité ou de sécheresse, en utilisant plus efficacement le dioxyde de carbone (CO2), tout en limitant les pertes en eau. Ces plantes effectuent une « préfixation » du CO2 sur un acide organique à 3 carbones et le transforme en un acide organique à 4 carbones, d’où le nom de plante en C4.
Plante dont le produit utilisé (graine ou plante entière séchée) contient plus de 15 % de protéine sur produit brut. Toutes les légumineuses et la plupart des oléagineux en font partie.
Petite molécule circulaire d’ADN présente chez les bactéries, capable de se répliquer de façon autonome. Certains plasmides sont utilisés comme vecteurs de clonage ou de transfert de gènes.
Un plasmodesme est un tunnel à travers la paroi pecto-cellulosique des cellules végétales qui met en relation les membranes plasmiques et les cytoplasmes des cellules.
Le PMG eprésente le poids en gramme de 1000 grains à un pourcentage d’humidité connu. C’est un moyen de distinguer les variétés à gros grains (PMG élevé) de celles à plus petits grains (PMG faible).
Caractère de ce qui se présente sous différentes formes. Il peut être relié à des différences de séquences d’ADN entre individus
Pour les végétaux, il s’agit d’un ensemble de plantes de la même espèce, sauvages ou cultivées, adaptées à des conditions locales et qui présentent une variabilité génétique.
C’est une expression de la durée du cycle de développement d’une plante entre le semis et la floraison et la récolte à maturité.
Pour le colza, les variétés sont réparties entre 5 groupes pour la précocité à floraison et la précocité à maturité : très précoces, précoces, 1/2 précoces, 1/2 tardifs, et tardifs.
Pour chaque variété, la durée du cycle est essentiellement déterminée par les besoins en unité de chaleur de la plante (somme des températures). Plus la variété est précoce et moins elle a besoin d’unités de chaleur pour atteindre la floraison ou la maturité. Une variété très précoce a un cycle court par opposition à une variété tardive dont le cycle est long.
Segment d’ADN situé en amont du gène (c’est-à-dire avant le début de la séquence codante). C’est le signal qui détermine l’amorçage de la transcription car il informe l’ARN polymérase de la présence du gène.
Macromolécule constituée d’une chaîne d’acides aminés liés par liaisons peptidiques, dont le repliement tridimensionnel lui confère une architecture fonctionnelle. Celle-ci est maintenue par des ponts disulfures et des liaisons hydrogènes ou par des interactions hydrophobes.
Ensemble des protéines générées dans les cellules, comme résultat de l’expression des gènes et de diverses régulations.
Cellule végétale dont la paroi pectocellulosique a été enlevée par digestion enzymatique.
Locus de caractères quantitatifs. Ils sont responsables du contrôle des caractères à effet quantitatif, c’est-à-dire ayant une variation continue de leur valeur (rendement, taille…).
ADN polymorphe amplifié au hasard : technique de révélation par PCR de mutations au niveau des sites d’appariement d’amorces oligonucléotidiques.
Restauration de l’activité biologique d’une molécule dénaturée. Exemple : réappariement de deux brins d’ADN par refroidissement lent.
Reproduction des organismes comportant la production et la fusion (fécondation) de gamètes.
Reproduction à l’identique d’un génotype végétal utilisant des organes (tubercules, bulbes…) , des techniques horticoles (bouture, marcottage, greffe…) ou des procédés de culture in vitro (micro-boutures, embryogénèse…) de multiplication clonale.
L’origine de la résistance est généralement génétique et liée à la présence d’un gène de résistance. Les gènes de résistance peuvent être soit présents à l’état naturel dans certaines variétés soit introduits dans un hybride par rétrocroisement, soit présents dans d’autres espèces et introduits par transfert de gène comme dans le cas de la résistance à la pyrale du maïs qui est un papillon ravageur. Dans le cas d’une résistance, la variété se protège en réagissant contre ce qui la détruit (parasite, maladie,…). Il faut distinguer la résistance de la tolérance bien que les deux termes soient abusivement utilisés sans distinction. La tolérance est l’aptitude d’une variété à supporter le développement d’un ravageur ou d’un agent pathogène sans que les désordres occasionnés compromettent sa croissance ou sa production. La tolérance s’applique pour la verse, le froid, la sécheresse.
Lignée qui, croisée avec une lignée mâle stérile, assure le retour à la fertilité du descendant.
Organite de la cellule dans lequel a lieu la synthèse de la majorité des protéines.
Le rétrocroisement ou back-cross est une des techniques de base de l’amélioration des plantes. Elle est utilisée pour introduire un gène qui code pour un caractère intéressant, la résistance à une maladie par exemple, d’un parent dit donneur, dans le génome d’une variété existante élite de bonne valeur agronomique dite le parent récurrent. Pour cela, on réalise une série de croisements entre la lignée receveuse ou élite, et la plante donneuse du caractère. Les descendants ayant le caractère désiré sont ensuite croisés pendant plusieurs générations par la lignée élite receveuse ou récurrente. Ceci permet d’augmenter la part de la lignée élite dans le fond génétique des descendants, tout en veillant à conserver le caractère intéressant par élimination des individus n’ayant pas le caractère désiré. Après le septième rétrocroisement, la part de la lignée élite receveuse est de 97%, c’est-à-dire que la lignée obtenue est quasiment identique ou isogénique de la lignée élite receveuse, mais contenant en plus le caractère désiré.
Polymorphisme de longueur des fragments de restriction : fragments d’ADN de longueurs différentes obtenus par l’action d’enzymes de restriction et permettant de distinguer des individus. Ils résultent des variations dans la séquence de l’ADN et peuvent être détectés à l’aide de sondes radioactives et servir de marqueurs pour l’hybridation.
Le rhizome d’une plante est la partie souterraine qui permet entre autre, la multiplication végétative de la plante.
Complexe composé de protéines et d’ARN qui permettent de synthétiser des protéines en décodant l’information portée par les ARN messagers.
Sélection assistée par l’utilisation des marqueurs moléculaires qui permettent l’étiquetage de régions chromosomiques favorables à l’expression de caractères d’intérêt, la sélection assistée par marqueurs rend possible la construction des meilleures combinaisons de gènes. Elle comprend deux étapes principales; l’identification très tôt, un fragment de feuille suffit, des individus complémentaires, puis le pilotage des croisements entre les individus.
Consiste à prélever un embryon précocement, pour le cultiver in vitro, soit pour accélérer les cycles végétatifs, soit parce qu’il ne pourrait pas se développer dans les tissus maternels comme dans le cas d’un croisement interspécifique.
Sélection des plantes utilisant leur carte d’identité génétique, quand la relation entre des séquences d’ADN et des caractères recherchés est connue antérieurement.
Sélection basée sur l’obtention de lignées ou familles de lignées avec le choix des meilleures d’entre elles.
Obtention, à partir d’un génotype hétérozygote, de deux lignées complémentaires qui croisées entre elles reconstituent ce génotype. Les méthodes mises en œuvre utilisent l’inhibition de la recombinaison méiotique (cross-over) et la production d’haploïdes doublés, parmi lesquels sont sélectionnées les lignées complémentaires.
Personne chargé pour les entreprises semencières de créer de nouvelles variétés. Egalement appelé obtenteur.
Semence obtenue à partir de la semence mère, dont l’identité, la pureté génétique et l’homogénéité sont garanties et qui serviront à la multiplication en vue de produire des semences certifiées.
Semence conforme au type de la variété et homogène, provenant de sélections individuelles et représentant les caractéristiques propres de la variété.
Analyse de l’ADN, consistant à déterminer la succession de toutes les bases qui composent une construction, un gène ou un génome.
Séquence d’ADN reconnue spécifiquement par une enzyme de restriction. Ces séquences de quelques paires de bases sont souvent symétriques et constituent des palindromes.
Le SOC, Service officiel de contrôle et de certification des semences et plants, est le service technique chargé de la mission de service public, confiée au Gnis par l’Etat. Il est en charge du contrôle officiel de la qualité et de la certification des semences. Sont concernés : les semences d’espèces agricoles et potagères, les plants de pomme de terre, les plants d’espèces potagères et de fraisiers.
Sofiprotéol accompagne les acteurs du monde agricole par des solutions de financement adaptées à chaque situation.
Petite séquence d’ADN ou d’ARN marquée (par un composé fluorescent, un radio-isotope ou une enzyme) que l’on utilise pour s’hybrider et détecter des séquences homologues, c’est-à-dire complémentaires.
Technique utilisée en génie génétique pour des hybridations ADN-ADN ou ARN-ADN. Elle comprend trois phases : le transfert des fragments d’ADN séparés par électrophorèse dans un gel, sur une membrane de nylon, puis l’hybridation de cette membrane avec une sonde nucléique, et la révélation de cette hybridation par autoradiographie dans le cas d’une sonde marquée radioactivement par exemple.
Les spathes sont des bractées en forme de feuille qui enveloppent et protègent l’épi du maïs.
Conservation des feuilles vertes jusqu’à la récolte pour optimiser la photosynthèse et le remplissage des grains.
Système de stérilité qui met en cause à la fois des gènes mitochondriaux et des gènes nucléaires particuliers (gènes de stérilité ou de restauration de la fertilité).
Stérilité des organes mâles d’une plante par l’atrophie des étamines ou l’avortement plus ou moins précoce du pollen dans les anthères. Ceci ce traduit par l’absence de pollen ou du pollen non viable.
Système de stérilité mâle qui met en cause à la fois le cytoplasme par des gènes mitochondriaux et des gènes nucléaires particuliers de stérilité ou de restauration de la fertilité.
Syndicat National du commerce extérieur des céréales, graines, légumes secs, produits oléagineux et dérivés
Formation de talles situées à un même niveau de la tige, à la base de la plante, et constituant une touffe herbacée, caractéristique des graminées. Période pendant laquelle ces pousses apparaissent.
Substance amorphe très répandue dans le bois, l’écorce, les feuilles et/ou les racines de nombreux végétaux.
ADN polymérase thermostable issu de Thermus aquaticus, utilisé en particulier pour l’amplification d’une séquence d’ADN (PCR).
Combinaison des méthodes de mutagénèse aléatoire des plantes à des méthodes modernes d’analyse de l’ADN permettant l’identification à haut débit de mutations.
La tolérance est l’aptitude d’une variété à supporter le développement d’un ravageur ou d’un agent pathogène sans que les désordres occasionnés compromettent sa croissance ou sa production. La tolérance s’applique pour la verse, le froid, la sécheresse… Il faut distinguer la résistance de la tolérance bien que les deux termes soient abusivement utilisés sans distinction.
Capacité pour une cellule de régénérer un individu complet identique à la plante mère. Elle repose sur l’aptitude à la dédifférenciation : les cellules peuvent redevenir des cellules simples, non spécialisées et se différencier ensuite pour donner à nouveau les différents types de cellules spécialisées.
Synthèse d’une protéine à partir d’un ARN messager. L’information génétique portée par l’ARN messager est lue et traduite en une séquence d’acides aminés correspondante.
Processus de synthèse d’un brin d’ARN à partir d’un brin d’ADN matrice. L’ARN polymérase va se fixer sur une séquence spécifique promotrice en amont du gène à transcrire et se déplace le long du brin d’ADN en ajoutant à l’ARN en élongation les ribonucléotides complémentaires des désoxyribonucléotides de l’ADN matrice.
Ensemble des ARN messagers issus de l’expression d’une partie d’un génome, autrement dit des gènes exprimés.
Transfert d’ADN dans le génome d’une cellule sans l’intervention d’un vecteur biologique.
Il transforme certaines plantes en produits diversifiés (farines, pâtes, tissus, carburant, sucre).
Technique de transfert et d’intégration d’un ou plusieurs gènes à l’intérieur du patrimoine génétique d’un organisme vivant.
Les trieurs à façon sont des structures professionnelles qui préparent les semences autoproduites à la ferme, dites « semences de ferme », en prestation de service pour les agriculteurs. Equipés de stations mobiles, les trieurs à façon se déplacent chez les agriculteurs.
Elle exprime la teneur en énergie d’un fourrage avec comme repère 1kg d’orge = 1UF
Il utilise les semences pour produire des plantes destinées à la consommation, à l’alimentation des animaux ou à des usages industriels.
Compartiment spécifiques de la cellule végétale. Ils permettent le stockage de l’eau, d’ions, de sucres, de dérivés azotés et de produits de dégradation.
Variation des caractères génotypiques parentaux de cellules végétales somatiques en culture in vitro.
Population artificielle obtenue en vue de son usage en agriculture, reproductible, homogène et stable dans ses caractéristiques génétiques et distincte des autres variétés.
Hybrides inter-variétaux multiples caractérisés par un nombre élevé de composantes (lignées, hybrides, populations etc. ) généralement non fixés.
Elle est multipliée en trois étapes G1(prébase) à partir de la G0, G2 (base) et G3 (semences certifiées).
Ensemble de caractéristiques que doivent présenter les nouvelles variétés de certaines espèces (blè, orge, maïs…) pour être inscrites au catalogue officiel.
La variété subit des épreuves et doit démontrer une amélioration agronomique (meilleure tolérance au froid, aux maladies…) et/ou technologique (meilleure aptitude à la panification…), et intégrer des critères environnementaux (adaptation aux conditions de milieux et aux itinéraires techniques limitants comme les fongicides, l’azote ou l’eau…).